Chez la famille Coyne, en plus du gène vampire, une autre chose semble s'être transmise héréditairement : les sarcasmes. Il est très rare de ne pas entendre Ben en sortir, et bien que chez certains ils peuvent être stupides et peu utiles, les siens sont parfaits et hilarants. Dès son arrivée à HoN, il établi très rapidement des relations entre lui et le reste des fledglings, sa personnalité amicale aidant beaucoup. Il ne se montrait méchant avec personne, mis à part son propre père. Malgré le fait que certains élèves n'étaient dans son entourage que pour faire de la lèche à son paternel, le professeur le plus stricte de l'école, il s'est tout de même procuré de très bons amis sur lesquels il pouvait compter. Ben aurait très facilement pu rejoindre les Dark Sons, avec son caractère extraverti. Pourtant, lorsqu'on l'y invita, il refusa directement, sans même y penser une seule seconde. En effet, il n'a jamais été intéressé par la popularité ou la reconnaissance des autres. Il préfère rester avec ses amis, il se contente de ce qu'il a sans chercher à voir plus grand que lui même. Légèrement susceptible, on l'a surpris une ou deux fois en train de pleurer devant des films. Malgré le fait qu'il soit souvent enjoué, il est d'un pessimisme effrayant. Jamais il n'arrive à s'imaginer que les choses vont bien aller, il croit toujours que le pire est à venir. Cela est sûrement dû à son enfance peu joyeuse. Ben est également quelqu'un de très rancunier : il ne pardonne jamais à qui que ce soit, quoi que ce soit. Pour lui, les erreurs ne peuvent être rachetées. Galant mais sadique, il parvient à attirer beaucoup de filles sans problème. N'étant pas réellement le genre de garçon à rechercher un coup d'un soir, il n'enchaîne pas les relations, mais il n'est que rarement célibataire. Souvent, il sort avec des filles pendant plusieurs mois, voire des années.

Ben est né de l'union sans amour de James Coyne, un vampire Gallois, et de l'humaine de la même nationalité qui s'était imprégnée de lui, Jessica Parison. De ce mariage forcé avait résulté deux enfants : lui, Benjamin Coyne et son petit frère, Maxwell Coyne. Alors que Ben n'avait que 5 ans, son père parti enseigner dans cette école pour vampires Écossaise, plus par envie d'abandonner ses fils (il s'ennuyait dans cette vie de famille humaine) que par réel intérêt pour l'enseignement. Sa mère, obsédée par lui en raison de son imprégnation, se suicida quelques mois plus tard. À l'époque, les vampires étaient toujours considérés comme des créatures mythiques et inexistantes, c'est pour cela que lorsque les deux enfants commencèrent à raconter aux assistantes sociales l'histoire de leur père suceur de sang, on les envoya dans le service psychiatrie de l'hôpital le plus proche. Lorsqu'ils en sortirent, ils ne furent ni adoptés, ni placés en famille d'accueil. En effet, personne ne voulait d'enfants fous dans leur maison, ils risqueraient de faire des bêtises. De plus, lorsqu'il eut 4 ans, on diagnostiqua à Max une insensibilité congénitale à la douleur, c'est à dire qu'en plus de sa folie, il était physiquement malade. Ils passèrent donc toute leur enfance à Durryvale, un orphelinat où tous les enfants dont personne ne voulait étaient placés. Ils y vécurent ensemble pendant plusieurs années. Max était protégé par son grand frère et ses muscles en acier, il effrayait tous ceux qui s'en prenaient à eux. Il enseigna à son frère comment se battre, et avec son insensibilité congénitale à la douleur, il apprit très vite. Tout se compliqua lorsque les Vampires sortirent de l'ombre, puisque peu de temps plus tard, Ben fut Marqué. Ils ont été séparés par cela puisqu'il fut forcé de rejoindre HoN pour ne pas mourir. Dès son arrivée là bas, il décida qu'il allait en faire baver à son père pour les avoir abandonnés. Lorsque ce dernier lui fut assigné comme mentor, il se considéra comme maudit. Il vit à présent à HoN depuis presque 4 ans, et les tensions avec son père sont au plus fort.

William est une véritable tornade, l'archétype de l'homme que l'on ne voudrait pas épouser. Et pourtant, il fait baver les jolies filles. Hyperactif et dragueur, il a pour principal sport la course. Après les filles, bien sûr. Pas franchement mature pour les Seize ans qu'il claironne fièrement, cela ne semble pas l'empêcher de faire du charme à toutes les jolies demoiselles qu'il croise. Malheureusement (ou heureusement pour ces dames) on ne peut pas dire que toutes ses tentatives soient couronnées de succès. Certaines lui résistent obstinément. Et elles lui résistent plutôt bien. Chasseur dans l'âme, cela semble lui plaire, puisqu'au final, William le sait bien (ou du moins l'imagine), il les aura toutes. Le grand défi qu'il s'est fixé en entrant à HoN est d'ailleurs d'accumuler un maximum de conquêtes. Serial womanizer, sa réputation est déjà bien faite depuis la rentrée et il a l'ambition démesurée de l'entretenir jusqu'à la fin de sa scolarité. Et quels que soient les obstacles qui peuvent se dresser sur son chemin, Will n'abandonne que très rarement. Pour lui, les femmes sont des trophées à obtenir, ni plus, ni moins. Il est plutôt provocateur envers les professeurs, surtout les masculins. Il tente de jouer la séduction face aux enseignantes, mais elles lui font un peu peur. Dans son jeu de séduction, il pense à lui, surtout à lui. Et il pense même que les autres ne pensent qu'à lui. Il a tendance à être un peu trop pris dans ses rêves de conquêtes et à oublier la réalité qui pourrait lui être plus profitable que ses plans sur la comète.

Pour la défense de Will, on pourrait dire que la vie ne lui a pas fait de cadeaux. Une mère peu présente et un père exigeant, le garçon dût apprendre à se débrouiller de lui-même dès son plus jeune âge. Adolescent turbulent, il causa bien des soucis aux autorités avant de préférer les jolies filles à la délinquance.
Sa seule force est de ne compter que sur lui-même d'où son désir flagrant de ne jamais s'attacher et son besoin d'indépendance. Au fond, il hurle peut-être sa détresse et son manque d'affection. Au fond, il a besoin de reconnaissance. Mais ce n'est pas avouable. C'est complètement stupide. La découverte de son gène vampire fut pour lui une nouvelle aubaine pour conquérir plus de demoiselles, de s'ouvrir de nouvelles portes. Même si pour l'instant, soyons lucides, de nombreuses portes se ferment encore sous son nez. Les filles qu'il attire ne sont pas vraiment celles qu'il désire profondément. C'est d'ailleurs à se demande qui il séduit vraiment. Les enseignements qu'il tire de son enfance l'encouragent à ne jamais abandonner, si bien que quoi qu'on lui dise, quoi qu'il lui arrive, il ne lâche jamais et ce en dépit des protestations de ses parents qui s'évertuent à trouver tout les défauts du monde dans sa condition de vampire, William persiste à voir cela comme un nouveau départ, annonciateur d'une nouvelle vie.

Révolutionnaire - Insensible - Attachant - Provocateur - Sanguin - Militant - Manipulateur - Sympathique - Impulsif - Romantique à ses heures.
Bavard et ouvert, le jeune anglais ne parle pourtant jamais exclusivement de lui. Il occulte toujours volontairement les dix première années de sa vie, longue période peu heureuse qu'il ne souhaite pas véritablement raconter.
Adriel a toujours été le genre de garçon dragueur et fêtard, laissant peu de place aux sentiments, relations sérieuses et études dans sa vie. A vrai dire, il est assez reconnu pour sa capacité à se foutre d'à peu près tout et tout le monde, à part des filles. Adriel est l'indolence incarnée, rien ne saurait le déstabiliser comme rien ne saurait l'intéresser et il ne semble se complaire que dans les activités artistiques, n'ayant absolument aucun atome crochu avec les matières scientifiques ou requérant une trop grande implication intellectuelle. Lui préfère faire l'acteur, rêver, faire du sport, draguer qu'étudier, jugeant cela futile. Cette pensée déteint fortement sur son comportement et son travail personnel, si bien qu'il ne semble fournir que le minimum syndical, y compris dans les matières censées l'intéresser. Pourtant, le jeune homme est bien loin d'être un crétin de première catégorie. Il en est même très loin, possédant une grande mémoire photographique et un sens de l'observation hors norme, Adriel est relativement intelligent mais ne semble pas avoir trouvé le moyen le plus valable d'employer le savoir mis à sa disposition. Pour l'instant, il l'utilise pour faire croire à tout le monde qu'il est médium ou pour draguer les filles, monter des arnaques au Blackjack ou à la divination...

Avant d'entrer à HoN, Hoover évoquait aux jeunes vampires une marque d'aspirateurs ultra-perfectionnés, fonctionnant avec ou sans sac. Puis vint l'ère d'Adriel. Et sa personne occulta rapidement la marque d'aspirateurs. Le jeune homme naquit sous X, vingt années auparavant. Il passa les Dix premières années de sa vie balloté dans des foyers et des familles d'accueil qui n'avaient aucune considération pour sa personne avant d'atterrir chez les Hoover et d'être adopté par ce couple de musiciens irlandais bohèmes dont le passe-temps favoris était de décrocher les plaques de rues pour les déplacer et les mélanger. Ils formèrent une famille joyeusement bordélique et hétéroclite, à laquelle il n'eut aucun mal à s'intégrer, se liant avec le fils biologique des Hoover, d'un an son ainé.
Il développa au fil des ans un sens artistique aigu, bien que restant tout bonnement nul un pinceau entre les doigts. Initié à la musique, le théâtre, le cinéma et la photographie, le jeune garçon développa une personnalité tournée vers l'esthétique plus que vers les études. Si bien qu'en dépit de son intelligence flagrante, il persistait à se laisser vivre. Il refusa toujours de faire un quelconque test de QI ou toute autre imbécilité du genre et aucun Hoover ne songea à la forcer, trouvant la chose d'une absurdité la plus totale. Adriel était plus ou moins doté d'une mémoire photographique et d'un sens du détail exceptionnel. Mais cela ne devait pas l'empêcher de vivre. Et franchement, qui aimait les têtes d'ampoules ? Il ne fut donc jamais déclaré comme surdoué ou toute stupidité du style.
En débarquant à HoN, Adriel apposa sa marque, comme il l'avait fait partout où il était passé. Sauf qu'il ne pouvait ni se permettre de se faire renvoyer, ni de redoubler. Cela ne l'empêcha pas de ne rien faire et de s'en sortir, au grand désespoir de ses professeurs. Il fait la fête, se fiche de tout et tout le monde et a même entrepris de réaliser un film sur ses camarades de HoN. Il n'est donc pas rare de le croiser caméra au poing, en train de courir pour échapper à des Darks sons peu ravis d'être pris flagrant délit et immortalisé sur la pellicule. En cours de Deuxième année, il reprit le flambeau du Comité des fêtes clandestin que lui tendait un Quatrième année, l'oeil attiré par les frasques de l'adolescent. Son statut de vampire ne le coupa aucunement de sa famille, avec laquelle il correspond régulièrement. De ce fait, Adriel estime sa vie particulièrement agréable. Des filles, des fêtes, des choses illicites... Rien ne semble lui manquer et il obtient à peu près tout ce qu'il désire. L'amour ? Quoi l'amour ?

Depuis tout petit, il adore amuser la galerie que ça soit par le dessin, sa branche favorite, ou en faisant le pitre au cours d'escrime. Il aime être remarqué, sans vraiment être populaire. Doté d'un humour à tout épreuve, c'est souvent vers lui qu'on va quand on a pas le moral ou quelques minutes à tuer. La plupart de ses camarades savent qu'il a un véritable don pour partager sa joie de vivre. Et il n'hésitaient pas à en profiter jusqu'à ce qu'il s'en rende compte. Ce n'est qu'il y a quelques mois qu'il comprit que les gens qui se disaient ses amis, le considéraient simplement comme un divertissement. Leur professeur de dessin les avait laissés partir dix minutes plus tôt. Alors qu'il se préparait à faire une entrée remarquée dans le dortoir, des rires bruyants attirèrent son attention. Des rires qui se moquaient de lui. Il comprit tout de suite car, si ce jeune homme est un peu naïf, il est loin d'être stupide. Depuis, il se tient à l'écart de peur d'être raillé à nouveau. Attention, il n'est pas devenu associable du jour au lendemain, loin de là. La plaisanterie est toujours son passe temps favori. Cependant, il est désormais bien plus complexe de gagner sa confiance. Il a perdu en légèreté et pense de temps à autre à se venger mais ne considère pas encore cela nécessaire. Quoique... une toute petite blagounette ?

Sa famille comptait déjà deux autres garçons lorsqu'il est venu au monde. Les jumeaux Mason, comme tout le monde les appelait, étaient très turbulents et le petit nouveau dût trouver des techniques pour ne pas se faire oublier. Les cris et les pleurs ne fonctionnèrent pas longtemps, les parents ayant déjà été rôdés par ses aînés. En revanche, les grimaces, les cabrioles, les bruits rigolos étaient des méthodes bien plus efficaces. Enfin, les risettes, ça passe jusque deux-trois ans mais Tomtom, comme on le nommait à cette époque, sût s'adapter. Se succédèrent les blagues, les farces, les réflexions absurdes ou un tantinet trop pertinentes pour un si jeune enfant. Le collège se déroula sans incident notable, si on met de côté la fois où il avait tartiné de colle le siège de leur professeur. Ou celle où, juste avant une séance de gymnastique, il s'était amusé à teindre en rose les t-shirts de ses camarades. Le Traqueur l'avait attendu à l'arrêt de bus alors que Thomas revenait des cours. Quand il a annoncé à sa famille qu'il avait été marqué, il était honteux et triste de devoir les quitter. Toute la famille a rit de bon cœur, persuadée que l'imagination de l'adolescent avait encore fait des siennes. Il avait fallu leur montrer son tatouage pour que les rires se tarissent. Il allait partir, rien ne serait plus jamais pareil. Thomas mit du temps avant de voir ça positivement, comme une grande aventure. En plus, on lui avait dit que les vampires était super jolies ! De quoi aborder cette nouvelle vie avec le sourire et sans trop de regrets.

Max est quelqu'un que l'on qualifie souvent de fou, ou d'inconscient. Les conséquences ne sont pour lui que de vagues et faibles choses qui se passeront peut-être un jour, peut-être pas. En plus du gène Vampire, il a une autre "anomalie" dans son corps : une insensibilité congénitale à la douleur, appelée ICD. Il n'a peur de rien, lorsqu'on n'a pas mal que reste-t-il d'effrayant dans ce monde ? Il pourrait se jeter du Big Ben sans ressentir la moindre once de peur. Il est également très rêveur, mais pas dans le sens retiré à toujours penser seul, mais plutôt dans le sens irréaliste, à toujours vouloir des choses qu'il ne pourrait jamais avoir. La bagarre est l'un de ses sports préférés, principalement car il ne perd presque jamais, étant largement avantagé avec sa maladie. Il se croit donc invincible. Cependant, même dans ses bastons les plus violentes, il n'est jamais en colère. C'est un mystère pour tous, mais ses lèvres sont toujours étiré en un superbe sourire, ni hypocrite, ni forcé. Les gens le trouvent passionnant, les esprits scientifiques aiment à le prendre en tant que cobaye. Il est aussi très drôle, toujours le mot pour faire rire. Il se rebelle souvent contre l'autorité, on l'appelle anarchiste, passionné. Les études de vampires semblent être devenues une passion pour lui, il travaille donc très fort, et le fait qu'il soit naturellement malin, instinctif et doté d'une grande intelligence l'aide évidemment beaucoup. Il se considère comme bisexuel, autant attiré par les femmes que par les hommes.

Max est né de l'union sans amour de James Coyne, un vampire Gallois, et de l'humaine de la même nationalité qui s'était imprégnée de lui, Jessica Parison. De ce mariage forcé avait résulté deux enfants : lui, Maxwell Coyne et son grand frère, Benjamin Coyne. Alors que Max n'avait que 2 ans, son père parti enseigner dans cette école pour vampires Écossaise, plus par envie d'abandonner ses fils (il s'ennuyait dans cette vie de famille humaine) que par réel intérêt pour l'enseignement. Sa mère, obsédée par lui en raison de son imprégnation, se suicida quelques mois plus tard. À l'époque, les vampires étaient toujours considérés comme des créatures mythiques et inexistantes, c'est pour cela que lorsque les deux enfants commencèrent à raconter aux assistantes sociales l'histoire de leur père suceur de sang, on les envoya dans le service psychiatrie de l'hôpital le plus proche. Lorsqu'ils en sortirent, ils ne furent ni adoptés, ni placés en famille d'accueil. En effet, personne ne voulait d'enfants fous dans leur maison, ils risqueraient de faire des bêtises. De plus, lorsqu'il eut 4 ans, on diagnostiqua à Max une insensibilité congénitale à la douleur, c'est à dire qu'en plus de sa folie, il était physiquement malade. Ils passèrent donc toute leur enfance à Durryvale, un orphelinat où tous les enfants dont personne ne voulait étaient placés. Ils y vécurent ensemble pendant plusieurs années. Max était protégé par son grand frère et ses muscles d'acier, il ne connu donc aucun réel problème que les gens rencontrent normalement dans les orphelinat. Personne ne le dérangeait. Son frère lui apprit à se battre, et avec son insensibilité congénitale à la douleur, il apprit très vite. Tout se compliqua lorsque les Vampires sortirent de l'ombre, puisque peu de temps plus tard, son frère fut Marqué. Il n'avait encore que 12 ans lorsque Ben fut forcé d'aller rejoindre HoN en Écosse. Quand les gens de l'orphelinat parlaient de lui, on disait toujours qu'il était le frère d'un monstre, et cela le mettait dans une fureur terrible. Il se battait tout le temps pour défendre l'honneur de son frère, et il gagnait très souvent. Avec le temps, il apprit à canaliser sa fureur. Il parvenait à se battre tout en restant calme et serein. À l'âge de 16 ans, il fut Marqué à son tour et il rejoignit son frère et son père à HoN. Ce dernier décida qu'il allait se racheter pour toutes les années où il n'était pas là en étant son Mentor. Malheureusement pour lui, Max n'est pas quelqu'un qui pardonne facilement, tout comme son frère...

Sensible - Rêveur - Attachant - Distrait - Réservé - Drôle - Discipliné - Doué - Sympathique - Romantique - Enjoué
Sensible et artiste, Elliot est de ceux qui rasent les murs pour ne pas se faire remarquer. Malgré sa bouille adorable et son succès auprès de la gente féminine, le jeune homme ne semble pas s'intéresser au sexe opposé. Il se murmure même qu'il serait gay. Ce genre de rumeurs le touchent énormément étant donné que ce n'est qu'un mensonge éhonté et que s'il ne regarde que peu les autres filles, c'est tout simplement parce qu'il n'y en a qu'une qui puisse attirer son oeil. Il a toujours eu peur de décevoir sa famille et le déshonneur plane encore au-dessus de sa tête comme une épée de Damoclès, sans qu'il puisse s'en débarrasser.

Elliot est un jeune anglais élevé dans la plus grande tradition des familles aristocratiques. Il n'a jamais manqué de rien et pourtant à toujours aspiré à une vie de bohème. Vivre d'amour et d'eau fraiche, un pinceau au bout des doigts, au fond de lui, c'est tout ce qu'il souhaite depuis sa plus tendre enfance. Pourtant, sa timidité l'a toujours empêché de réellement s'opposer à ses parents et il s'est toujours contenté d'être le parfait fils de bonne famille. Il ne compte plus les rébellion avortée, les fugues ne dépassant pas trois pâtés de maison plus loin que le manoir... Au fond, Elliot est excessivement fier du nom qu'il porte et de l'ascendance qu'il lui offre mais le poids du prestige et la responsabilité qui lui incombe commence à se ressentir et ses épaules ploient plus qu'il ne voudrait le montrer.
L'espace d'un instant, le jeune crut que son statut de vampire pourrait changer sa vie et le préserver du destin tout tracé qui l'attendait déjà, mais cela sembla produire l'effet totalement inverse chez ses parents, nourrirent des projets plus grands encore pour leur rejeton. Considérant que nombreuses étaient les personnalités vampires, il n'y avait pas de raison pour que leur fils ne puisse pas se hisser à la hauteur des plus grands.
Partagé entre le déshonneur qu'il pourrait infliger à sa famille en rejetant les normes qui lui sont imposées et son irrépressible envie de tout envoyer en l'air, Elliot entre à HoN la peur au ventre, craignant de décevoir, craignant de ne pas supporter la pression qu'il subit de la part de l'école et de sa famille.

Daniel est un adolescent adorable, toujours prêt à rendre service, à se mettre en première ligne pour épargner ses amis. Trop gentil, certainement, pour voir qu'on lui marche sur les pieds, qu'on profite de lui. Le jeune homme a toujours su faire passer son intérêt personnel après les autres. Un modèle de vertu et de prévenance, en quelque sorte. Mais Dan est un manipulateur hors-pair, il est de ces hommes qui agissent dans l'ombre, des marionnettistes. Etrangement, il ne s'en rend pas compte, et c'est peut-être là que réside le plus grand danger dans sa personnalité. Chantage et corruption sont son lot quotidien. Ironiquement, il dira qu'il tient cela de son père, sans vraiment mesurer la portée de ses paroles. Daniel est ce que l'on peut appeler un adolescent encore en cours de construction. Macho sans l'être jusqu'au bout. Gendre imparfait, mais serviable. Manipulateur inconscient qui ne peut empêcher le remord de l'envahir lorsqu'il s'en rend compte. Daniel est de ceux encore incertains, les funambules qui ne savent de quel côté tomber et qui espèrent que leur vie pourra se dérouler sur le fil. Puérilité et illusions parachèvent alors le portrait du jeune Carradine, adolescent encore sans opinion, prenant parfois ses chimères pour des réalités.

Vous savez ce qu'on dit. Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années. Daniel fait partie de ces âmes relativement bien placées dans l'échelle sociale, bien qu'assez mal vu. L'adolescent, né à Fortaleza, a toujours vécu dans l'opulence, de part le statut social de son père, diplomate anglais en déplacement au Brésil. Il n'a jamais connu sa mère et son paternel ne cessa de marteler toutes sortes d'idées préconçues à l'égard des femmes, tendant à faire penser au jeune garçon qu'elles n'avaient d'intérêt que derrière les fourneaux. Pour autant, derrière une personnalité légèrement machiste qu'il développa au fil des années, Daniel ne devint pas la copie conforme de son père. Il apprit à suivre son exemple, a mettre en pratique les manipulations diplomatiques qu'il avait tant de fois vue se jouer devant ses yeux; comme il apprit à les contourner, à s'assagir et a prendre le contre-pied d'un paternel trop présent.
Daniel hésitera toujours entre céder à cette tentation imperceptible de manipuler chacune de ses rencontres et se conduire en parfait gentleman. On pourra noter que son père ne lui facilite pas la tâche. Inlassablement, il lui rappelle que le sexe faible n'est pas fréquentable, que les basses castes ne sont pas mieux que de la chienlit. Et l'adolescent acquiesce, intègre sans mot dire et ne sait toujours pas de quel côté faire pencher sa propre balance.
On ne peut pas vraiment dire que la première année de Daniel à HoN soit une révolution pour lui. Bien qu'il n'ait encore aucune idée de ce qu'il pourra bien y faire, il sait déjà que ce ne sera pas SON année, pas celle de son émancipation. Il lui reste toujours l'espoir de rentrer ches les Dark Sons... Mais pour cela, c'est du côté de la manipulation qu'il devra tomber et ce sera à lui de faire le choix entre sa dignité, sa liberté et son ascension sociale.

Harrison, dit tête d'ampoule, a toujours été l'intello du coin. Travailleur comme pas deux, doué et pragmatique, il ne possède malheureusement aucune imagination et excelle donc dans les matières scientifiques plus qu'en sport ou en Art. Son principal défaut est de ne rien comprendre aux filles, même s'il clame le contraire. En effet, le jeune homme a beau être taxé de Mr Je-Sais-tout, il n'en est pas moins bien entouré de sa bande de Geek. En fait, il faut bien l'avouer, et tout le monde s'accorde sur ce point, excepté l'intéressé qui ne semble toujours pas réaliser que ce mot lui est définitivement associé, même après Quatre années à HoN... Harrison est un boulet. Un boulet mignon et terriblement attachant, mais un boulet quand même. Non content de trainer cette réputation depuis sa première année, date de sa première bourde, Harrison l'entretient régulièrement, enchainant les blagues vaseuses tombant constamment à plat ainsi que les maladresses. Le jeune homme a toujours eu la désagréable habitude de mettre les pieds dans le plat, de sortir la mauvaise réplique au mauvais moment, plus le plus grand désespoir de ses professeurs et camarades. Naïf, hyperactif et débordant de joie de vivre, Harrison parle aussi vite qu'il peut résoudre une équation à trois inconnues. Et souvent bien plus vite que sa raison. Et summum de la honte, chose qu'il ne dit à personne, parce que bon, quand même, y'a des limites, le jeune homme cache encore son doudou sous son oreiller.

Harrison est le fils unique d'un couple de journalistes écossais. On aurait pu croire qu'avec le nombre de diplômes détenus à eux deux, les Dohnahue donnerait naissance à un enfant vif d'esprit. Or, ce ne fut pas exactement le cas. Certes, Harrison était un enfant des plus doués, déjà en avance sur ses camarades à la maternelle et tandis que ses petits copains lisait encore les livres cartonnés, lui s'attaquait aux premières lignes de Shakespeare (Qu'il mettre plus d'un an à achever, ceci dit). Toutefois, il manquait à leur progéniture une certaine intelligence vive, un peu de vivacité au fond de ses yeux bleus. Et Harrison continua de souffrir de cette lacune. Mais n'allez pas croire qu'il était un crétin tout juste bon à faire des calculs mentaux. Non. Au fil des ans, il apparu de ce n'était pas d'intelligence dont manquait Harrison, mais bel et bien de maturité. Trop candide, maladroit et naïf, il vécu toute son enfance au pays des bisounours. Personne ne semblait le persécuter et quand bien même, rien ne semblait l'atteindre. Ainsi n'eut-il jamais à souffrir des surnoms dont il se retrouva affublé dès l'école primaire. Le fait qu'il soit un vampire ne sembla pas le chambouler outre mesure. Déjà dans son monde à Dix ans, ce n'était pas à Seize ans qu'il allait en sortir. C'est donc à côté de ses pompes, armé de son sourire naïf et de son intelligence hors norme. Comme à son habitude, il enchaina les bourdes et, avant même de pouvoir les compter, avait déjà dépasser la dizaine en un mois. Pour son premier jour, il manqua de mettre le feu aux rideaux de sa chambre en voulant déchiffrer de l'encre invisible. Puis il se cassa la figure dans les écuries et atterrit le nez dans un crottin, avant d'achever sa journée le t-shirt accroché à un banc du parc. Entre temps, il avait par ailleurs raconté une blague sexiste à une féministe et une histoire de bébé mort à une femme enceinte. A part ça, tout allait bien. Sans sa maladresse et sa naïveté légendaire, les notes du jeune homme lui auraient ouvert les portes des Dark Sons.
Pour sa Quatrième et dernière année, fort heureusement, chacun espère qu'Harrison ne transformera pas HoN en ruines fumantes par un accident fortuit. Vous vous souvenez de l'inondation des dortoirs des garçons ? Bah c'était lui. A bon entendeur...

« Edwin est insupportable » C’est ce que vous dira son père, son fils lui, lui répondra que l’on récolte ce que l’on sème. Il aime faire le contraire de ce qu’on lui dit, c’est devenu une véritable obsession chez lui, à un point où il adore lire les règles et règlement, pour mieux les enfreindres. A chacun ses hobbies. Outre, ce trait de caractère … particulier, c’est quelqu’un de passionné, que rien n’arrête lorsqu’il commence, mais comme il commence rarement on a tendance à penser que c’est un feignant, alors qu’en fait il se réserve pour être plus performant dans les autres activités: je ne fais que répéter ce qu’il dit. Sa passion, on la retrouve sur tout les fronts, malheureusement, en amour, être passionné, n’est pas l’une des meilleurs choses qu’il soit, et ça, il l’a apprit à l’usure, il l’a tellement apprit qu’aujourd’hui il se considère comme ennemi officiel de l’amour, … pourtant il reste toujours victime de ses sentiments. Et dans son malheur, on a la sensation que l’amour le rappelle toujours à lui, pour toute les raisons possible, et pour n’importe quelle personne, d’où le surnom que lui a donné sa mère « Mon petit Eros » qu'il comprendra qu'une fois à HoN. C’est pour cette raison et pour survivre, qu’il essaye de « brider » ce surplus d’amour, il haït plus facilement, utilise le sexe comme arme, et se refuse à aimer. L’amour est une partie de lui, même plus l’amour c’est lui, malgré toutes les barrières contradictoires qu’il tente vainement de créer. Il faut dire que le mot contradictoire lui convient parfaitement, à savoir si cela va de paire avec le mot lunatique, mais les deux ensembles ça donne quelque chose de relativement désagréable, nous en avons la preuve avec Edwin. L’entité « héritier Amadiendir » est complexe, il prône la justice, tant que c’est la sienne, et n’hésite pas à être violent pour elle. Tout ça avec humour, bon il est vrai que ça relève plus du sarcasme qu’autre chose, mais il ne peut rien y faire, il est impulsif, fait ou dit des choses sans réellement se contrôler, ainsi on ne lui dit jamais deux fois la même, sur le coup, il réagira immédiatement. Mais il a du vécu, commence à connaître la vie, ça lui vaut une indépendance précoce, téméraire déjà à son âge, il accepte très difficilement les conseils, et ne lui dites jamais ce qu’il doit faire, que vous soyez un ami ou un ennemi. En somme, Edwin est quelqu’un de très fort … il en reste pas moins fragile.

Edwin est né un 6 Juin 1993 en France, à Paris pour être précis. Son père n'était à la base qu'un coup du soir pour sa mère. Cependant L'homme étant l'héritier d'une des familles les plus riches d'Angleterre il fut obligé de faire d'elle sa femme, et de lui son fils légitime. Ainsi fut sa vie pendant des années, vînt une petite sœur, puis un fils adoptif plus âgés que lui pour compléter la famille. Il a avec sa mère une relation fusionnelle, sa meilleure amie, sa confidente, à qui il dit tout, de toute façon il a l’impression qu’il ne peut rien lui cacher. Il est fasciné par son tatouage en forme de croissant de lune sur le poignet et sa beauté, ainsi il lui voue une admiration sans borne. Il est assez populaire, dans son statut d’héritier, d’ailleurs il est surnommé par la presse : «  L’indigne héritier des Amadiendir » Et ce pour toutes les raisons possibles qu’ils soient, pas seulement pour la façon particulière dont il a été conçu, mais aussi car c’est un bi, à forte tendance homo juste pour faire chier le peuple. Sa plus grande particularité, outre le fait qu’il se sente sur-entouré mais seul, c’est sa haine féroce pour l’amour, qui la rappelle toujours à elle. En effet, Edwin est fleur bleu, et son cœur était assez facile d’accès, il donne de l’amour à qui veut, pour n’importe quelle motif. Ce qui lui a valu le surnom d’Eros [* Fils de Nyx , dieu de l’amour chez les Vampires] par sa mère. Terme qu’il ne comprendra que bien plus tard. Pour faire face à cela, il a décidé de mettre des barrière entre lui et l’amour, jusqu’à utiliser le sexe comme arme.
Devenir Vampire pour lui est synonyme de peine de cœur éternelle, c’est pour cela qu’il voit ses 4 années comme un test ultime, et la meilleure façon qu’il soit de lutter contre ses sentiments. Marche ou crève est devenu sa devise !

Oliver est quelqu'un de très passionné. Il tente par tous les moyens d'arriver à ses fins. S'il faut faire cela, il le fera. Pour lui, la réussite est essentielle. C'est pourquoi, il lui arrive de ne voir que sa petite personne et d'être égoïste. Bien heureusement pour lui, certaines personnes ne s'empêchent pas de lui faire remarquer. C'est une personne également assez lunatique. Ne vous attendez pas à la même personne du jour au lendemain. Tantôt heureux, tantôt en colère, il n'arrive pas à contrôler ses émotions et reste assez impulsif. Il agit très souvent sur le coup de l'émotion, de l'évènement et cela lui joue bien des tours. Il pourra vous rentrer dans le lard totalement si vous ne faites pas attention à vous. Il ne passe pas par quatre chemins et est même très cru avec les autres. Il n'est pas insultant mais cru par ses propos qui choquent plus d'une personne. Cependant, il est très loyal et même s'il est parfois égoïste, il viendra toujours en aide à ses amis pour X raisons. Rien ne lui faire peur, et c'est justement là le problème, au bout d'un moment on se brûle les ailes.

Oliver est né en Irlande alors qu'il avait déjà un frère de deux ans. C'est pourquoi, il fut bien accueillit. Un enfant de deux ans déjà, un autre qui venait d'arriver, les parents étaient aux anges. Il grandit un peu comme tout le monde. Des frasques durant son enfance eurent lieu comme des bagarres à l'école. Pendant l'adolescence, le début de la cigarette, entre autre. Ses parents durent donc renforcer leur autorité dessus. De plus, ils étaient très conservateurs et croyants donc ils s'intéressaient fortement à leur image. Ce garçon et son frère durent donc aller à la paroisse pendant des années. Cela ne les intéressaient pas mais ils y étaient obligés. Dès qu'ils le pouvaient, ils évitaient cet endroit et les cérémonies qu'il s'y passait à l'intérieur, quitte à fuir pendant une messe ou autre. Son frère fut, lors de ses seize ans marqué. Ce fut la débandade dans la famille. Les parents criaient au démon avec des croix de partout. Alors Oliver aida son frère à s'échapper pour arriver à l'école de HoN. Mais lorsque Oliver eut le même sort, il dut se débrouiller seul face à deux parents méconnaissables. Ils étaient pires que furieux, ils étaient "possédés". Face à cela, Oliver n'eut que le temps de fuir vers HoN pour retrouver son frère Alex afin d'intégrer l'école.

Vlad est un perfectionniste sans égal. Tout, absolument tout, se doit d'être parfait. On pourrait presque dire qu'il a une phobie du désordre, puisqu'il a du mal à respirer lorsqu'il en rencontre. Il préférerai avoir un zéro en cours plutôt que de rendre un devoir non proche de la perfection. Il rejette également toute forme de peine, dépression ou douleur. Tout cela doit absolument être remplacé par du bonheur, même s'il est feinté. Les gens tristes le rendent triste, et lorsqu'il en voit, il pète un câble, littéralement. Il crie, donne des coup, insulte. Mais la plupart du temps, cela ne sert pas à grand chose, à part faire sentir les personnes déprimées encore plus déprimées. Il ne croit pas à l'amour, quelque soit sa forme : amour paternel, amitié, love... Ce ne sont que des mythes, des histoires racontées aux enfants pour les faire dormir, et la plupart du temps, ils sont tellement stupides qu'ils continuent à y croire une fois adultes. Il pense être mentalement plus développé que les autres. Ce n'est ni de l'arrogance, ni du narcissisme, on devrait plutôt qualifier cela de dégoût de la population, en général. Il n'aime pas les gens, et les gens ne l'aiment pas. On dit souvent de lui qu'il est asocial. Ce n'est pas totalement faux, mais il croit surtout que les autres ne sont pas assez intelligents pour mériter de le fréquenter. Il se montre même cruel envers les gens essayant de sympathiser avec lui. Il préfère la solitude. Doté d'une mémoire photographique, il pourrait feuiller un livre de plusieurs centaines de pages en une minute et vous le réciter en entier. Ses capacités intellectuelles sont telles qu'il est bon en absolument tout : sports, musique, art, danse, poésie, théâtre, biologie vampirique, sociologie vampirique et la liste est encore longue. Cependant, il n'est jamais content de ce qu'il fait, toujours à se plaindre.

Né au Danemark il y a dix-huit ans de cela, d'une mère russe expatriée et d'un père inconnu, Vlad a connu le pire comme le meilleur. Pendant plusieurs années, de sa naissance jusqu'à ses 6/7 ans, il a vécu dans un petit appartement minuscule dans une allée mal famée et près de plusieurs dizaines de bennes à ordures. Sa mère était une prostituée dont les talents laissaient à désirer, autant dans le lit que dans d'autres choses. Elle était payée par des hommes pas très riches, mais qui avaient besoin de sexe. Ils vécurent ainsi, avec un petit bout de pain à manger par jour, pendant de longues années. Un jour, alors que l'un des clients de la mère de Vladimir entrait dans leur maison, et que le petit devait aller se cacher sous une table, fermer les yeux et boucher ses oreilles, tout changea. À la place de ses habituels clients se tenait devant elle Michael Meyer, un riche anglais qui était tombé amoureux de la pauvre femme dès qu'il avait posé le regard sur elle. Au lieu d'avoir une relation sexuelle, comme tout le monde s'y attendait, ils discutèrent pendant des heures. Lorsque le soleil se leva, l'anglais avait déjà fait son choix : il allait emmener la femme de ses rêves et son fils chez lui, et leur apporter une vie bien meilleure. C'était leur ange gardien, il les avait sauvé de leur misère. À leur arrivée à Londres, les Van Dijk étaient stupéfaits. Jamais ils n'avaient vu une ville aussi belle de leur vie. La maison de l'anglais était plus belle encore. À partir de ce moment, ils eurent tout ce qu'ils souhaitaient. Vlad a été adopté par Michael, qui le traitait comme son propre fils. Il lui apprit l'anglais, le français, le chinois, l'allemand. Il alla dans les meilleurs écoles, bénéficia des meilleurs instituteurs. Pour ne pas décevoir son beau-père, il devait se montrer parfait. Il est depuis lors un homme perfectionniste, frôlant presque la perfection. À 16 ans, il fut marqué, comme tout autre jeune porteur du gène vampire. Il pensait que son père le gronderait, mais à la place, il lui expliqua qu'il était encore plus fier de lui, qu'il allait pouvoir accomplir de grandes choses. Il est à présent à The House of Night en Écosse, la seule de tout le Royaume Uni. Il n'a pas énormément d'ami, étant asocial, mais il a les meilleures notes de toute l'école.